"Merci d'éteindre vos téléphones portables jusqu'à l'arrivée à notre point de stationnement." Oui mais pourquoi?

Eh bien cela ne semble pas bien clair...

L'hypothèse est bien sûr que l'utilisation d'un téléphone mobile pourrait créer des interférences avec les différents outils de mesure nécessaires au pilotage, outils particulièrement sensibles en phase de décollage et d'atterrissage tels que l'altimètre, la radio, etc. Quelque soit la compagnie aérienne sur laquelle vous voyagez la consigne est la même, consigne qui relève donc d'un principe de précaution plus que d'une étude concluante, qui serait bien coûteuse!

L'interrogation qui reste en suspens est qu'il n'est pas dit que les portables fonctionnent en altitude. Les seuls moments où ces derniers pourraient fonctionner seraient pendant les phases de décollage et atterrissage, lorsque les antennes relais du sol restent à proximité. Une fois en rythme de croisière, pas de risque d'interférence, les antennes sont bien trop loin.

Par ailleurs, il n'est pas non plus scientifiquement prouvé que les ondes utilisées pour le pilotage de l'avion et celles utilisées par le réseau mobile soient les mêmes.

De plus, si les téléphones et autres appareils électroniques étaient succeptibles d'engendrer un crash, pourquoi les compagnies laisseraient-elle les passagers voyager avec? Nous nous voyons confisquer toutes sortes d'accessoires propices à une attaque terrorriste, alors pourquoi autoriser ceux qui pourraient par leur simple utilisation être à l'origine d'un crash?

Enfin, dernier argument peu scientifique mais plein de bon sens, ce serait pour ne pas distraire l'attention des passagesrs et de l'équipage en cas d'évacuation d'urgence (idem pour les appareils électroniques tels que mp3 ou ipod).

Par faute d'élément, les compagnies prônent le principe de précaution. En attendant, je laisse les professionnels se pencher sur la question, et reste bien disciplinée quant aux annonces de sécurité!

Cependant, les contructeurs tels qu'Airbus se penchent sur la question, et téléphoner en avion pourrait être rendu possible prochainement. Fini la tranquilité!

Pour les curieux:

Les questions qu'on se pose dans l'avion - L'internaute

Sources:

New York TImes, Le Figaro, L'express, Slate.fr, ... 

Les larmes sont présentes en permanence dans notre corps et sont stockées dans les glandes lacrymales situées derrière nos paupières inférieures. Elles se manifestent au quotidien en endossant, selon les circonstances, un rôle différent et bien souvent prépondérant pour notre œil ou bien notre organisme.

Il existe trois types de larmes.

Les premières, les plus discrètes, sont les larmes de lubrification qui ont pour rôle d’hydrater la cornée et d’ôter les impuretés logées dans notre œil. C’est pour cela que, même captivé par un joli tableau Excel de 5162 lignes et allant jusqu’en colonne AXY, il ne faut pas oublier de détourner son regard et cligner des yeux régulièrement pour permettre aux larmes de faire leur boulot !

Ensuite, qui n’a pas rencontré un oignon un peu coriace, voir même un poireau bien blanc? Ou entendu parler du gaz lacrymogène ? Dans ce cas les larmes se manifestent et jouent leur rôle de protectrices afin d’éliminer ces substances qui agressent et irritent la cornée, ce sont des larmes de réflexe.

Enfin, nous pleurons également sous le coup de l’émotion… un fou rire ? Une grande joie ? Une mauvaise nouvelle ? Une vive douleur ? Tournons-nous donc vers notre cerveau et plus précisément vers notre hypothalamus, qui en est le responsable ! L’hypothalamus fait partie du système nerveux autonome ; il est responsable de nos émotions, et supervise nos réactions instinctives de survie telles que la faim, la peur, l’agressivité,… (par opposition au cortex, siège de la volonté qui nous permet de contrôler nos réactions et nos émotions). Lors de fortes émotions, des hormones de stress sont lâchées dans notre système ce qui provoque une sensation de nœud à l’estomac lorsque l’on est stressé ou bien la difficulté de parler lorsque l’on est énervé tant la tension est importante… Dans son rôle de régulateur et de déclencheur de réflexes de survie, l’hypothalamus stimule alors les glandes lacrymales via le nerf facial qui libère … les larmes ! En effet, pleurer permet d’éliminer une grande part de ces hormones de stress néfastes pour l’organisme : qui ne se sent pas mieux après avoir versé sa larmichette ? Ces larmes (émotionnelles) arrivent en telle abondance que les poches les contenant débordent et elles coulent ainsi sur notre visage. Elles ont donc un rôle « protecteur psychique ».

Sous l'oeil, la peau est très fine (entre 0,5 et 0,01 millimètre), soit plus fine que sur le reste du corps et donc plus fragile. La peau est recouverte d'une couche protectrice (appelée film hydrolipidique pour les plus connaisseurs) qui est responsable de la bonne hydratation de l'épiderme. Cette couche est également plus fine à cet endroit précis. Mais c'est bel et bien le réseau sanguin qui est la cause des cernes. Les pigments de sang s'accumulent et les cernes apparaissent. En temps normal, le sang draine ces pigments et la circulation est fluide. Lorsque nous sommes fatigués ou bien stressés ce rôle n'est pas bien rempli et les cernes apparaissent. Les périodes d'inactivité telles que le sommeil permettent une meilleure circulation du sang et c'est pour cela qu'après une bonne nuit de sommeil, nous n'avons pas de cernes!

Au delà de la fatigue de nombreux facteurs peuvent être à l'origine d'une mauvaise circulation sanguin et donc des cernes: la consommation d'alcool, de tabac ou bien l'héritage génétique...

Tout d'abord, il faut savoir que les sables mouvants sont composés de sable fin (environ 40% en volume, soit peu), d'eau  salée (en majorité) et d'argile.

Ce phénomène se crée sur des zones sabloneuses saturées d'eau. Leur formation s'explique par la présence permanente d'une grande quantité d'eau provenant du sous-sol. La quantité est suffisamment importante pour séparer les grains de sable et les mettre en suspension. L'argile permet de les stabiliser, d'où l'aspect normal des sables mouvants vus de loin! Ils sont également masqués par le fait que la couche supérieure (correspondant au sol) sèche au contact de l'air: l'eau s'évapore et la quantité de sable devient plus importante, les grains de sable s'unissent... oui mais il ne s'agit que de la couche supérieure... Au moindre poids exercé sur cette surface, l'eau remonte à la surface, les grains se détachent et nous observons alors le phénomène des sables mouvants!

Cependant, bien que pouvant être dangereux, un humain ou un animal ne s'enfoncera jamais complètement dans les sables mouvants. Il sera par contre très difficile d'en sortir et la personne se retrouvera immobilisée sans l'aide d'un tiers.

Tout d'abord, les yeux rouges n'apparaissent que sur des photos prises avec flash et de face. Qui dit flash, dit lieu sombre; la pupille (située au centre de l'oeil) se dilate pour capter le plus de lumière possible. La pupille est une surface vide, une sorte de "trou", elle apparaît noire à la lumière mais elle n'a en fait aucune couleur. Lorsque le flash se déclenche, il passe par la pupille et éclaire la rétine, située au fond de notre oeil. Le lieu de convergence des rayons lumineux sur la rétine, la macula, comporte de nombreux vaisseaux sanguins qui lui donnent une couleur rouge. Lorsque l'on prend une photo avec le flash dans l'axe pupille-macula, on voit apparaître sur la photo la rétine rouge de la personne photographiée, à l'endroit de sa pupille.

Normalement, l'oeil doit absorber toute la lumière. Cependant, dans le cas du flash, l'oeil se trouve dans le noir puis exposé tout à coup à une grande quantité de lumière. L'oeil n'a donc pas le temps d'absorber toute la lumière, ni de rétracter la pupille, ce qui explique la couleur rouge et la dilatation importante de la pupille.