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23 août 2011 2 23 /08 /août /2011 21:13

Et si j'étais né en 17 à Leidenstadt

Sur les ruines d'un champs de bataille

Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens,

Si j'avais été, allemand.

 

Tel est le début de la célèbre chanson de Jean-Jacques Goldman sortie en 1990 sur l'album Fredericks Goldman Jones. Chanson qui pose la question de savoir comment nous aurions agi si nous étions nés du côté des oppresseurs (dans des évèments tels que l'Apartheid en Afrique du Sud ou la montée du nazisme post-Première Guerre mondiale par exemple).

 

Eh bien la ville de Leidenstadt n'existe pas, elle a été créée pour les besoins de la chanson. Son nom a été formé avec les mots allemands Leiden, les souffrances, et Stadt, la ville...

 

Ecouter la chanson.

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commentaires

H
Oui j'ai, nous avons beaucoup de chance né en 1947 en France une longue période calme ou il à fait bon vivre, je suis triste et inquiet pour mes enfants et petits enfants quel monde leurs est il réservé je n'ose même pas y penser, j'espère simplement me tromper et ne pas bien comprendre l'évolution de la vie qui les attends, ils serons je leur souhaite en tout les cas de biens savoir s'adapter à l'évolution de leur vie, je leurs fait confiance pour qu'ils puisse vivre heureux, j'ai écris tout ça les larmes aux eux, merci?
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I
J'ai longtemps imaginé des enfants allemands déambulant dans les ruines et devenant plus tard des nazis par rancœur... Et j'ai appris plus tard que la 1ère guerre mondiale s'était essentiellement déroulée en France et en Belgique.<br /> Ou comment, la main sur le cœur, inventer des justifications à l'extrémisme !
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P
C'est un nom de ville en imagination. Leiden veut dire souffrir et Stadt = ville; donc ville de souffrance<br /> En effet, c'était une époque de souffrance énorme et imaginable pour tous! Nous avons la chance vivre en paix depuis plus que 70 ans et j'espère pour nos enfants que ça va durer! Chaque guerre fait rien que de larmes et des perdants!
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M
Merci pour ces informations !
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Ç
Merci pour votre commentaire!
C
Où l'on décèle encore une fois toute la subtilité de l'auteur...
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